Créations mathématiques : Réalisation de « Paper Toys » en 6ème

Après avoir travaillé sur les solides, les élèves de 6ème de Mmes Delhuille, Meilliez et Grand ont fait preuve d’imagination en créant leurs Paper Toys représentant des personnages ou des animaux.

Qu’est-ce qu’un Paper Toy ?

Un Paper Toy est un jouet de papier, animé ou non par des mécanismes, et représentant le plus souvent des personnages.

C’est le mouvement Arts & Crafts japonais qui en est à l’origine : ce mouvement apporte une dimension graphique à l’Origami traditionnel, car à la différence de celui-ci, le papier utilisé est personnalisé.

Comment construit-on un Paper toy ?

Les élèves ont tout d’abord choisi les dimensions des différents solides qui constitueraient leur création : des pavés droits en majorité. Puis ils ont tracé en vraie grandeur les patrons et les ont découpés minutieusement. Enfin, ils ont décoré et collé les différents solides pour fabriquer leurs personnages ou animaux.

Félicitations à eux pour leurs belles réalisations !

Le Tour de France s’invite à Cassel

Ce jeudi 23 juin flottait au réfectoire un air du Tour de France, et pour cause, il passera par Cassel le 05 juillet prochain.

Pour fêter l’événement, l’équipe de la restauration avait mis les bouchées doubles : une décoration aux couleurs du Tour, un menu spécifique avec un « Paris-Brest » revisité et … du jaune !

Longue vie à Habiba Sarabi !

Une année qui se clôture bien pour les 5eA de Mme Moudart : ce lundi 27 juin, les ambassadrices de Mères pour la paix de Villeneuve d’Ascq sont venues récompenser la classe qui avait remporté le 31 mai dernier le concours du programme Femmes de paix.

Ce fut un moment d’échange et d’entente entre adultes et élèves afin de revenir sur la prestation de la classe et leurs ressentis sur ce travail d’une année.

Ce qui ressort, c’est que ce projet de classe fut apprécié à l’unanimité et qu’il a permis de souder les élèves. Et pour preuve : la classe avait pu partager leur plaisir en montrant à dix classes du collège leur scénette, le 14 juin, au gymnase.

Ce 27 juin, c’est avec un plaisir inégalé que chaque élève a reçu son lot : le livre Parvana de Déborah Ellis, livre dont les élèves avaient étudié un passage en cours de français. A l’issue de cet échange, le verre de la paix fut servi pour fêter ça!

Veni, vidi, vici !

Ils sont venus, ils ont vu, ils ont vaincu !

Ce jeudi 23 juin, les latinistes des classes de Mme Moudart ont pu prononcer cette célèbre phrase de Jules César.

Eh oui, les 3èmes qui avaient préparé le scénario de la chasse au trésor annuelle avaient quelque peu revisité l’histoire : notre général en chef était en passe d’être assassiné par….sa charmante fille Julia !

Bon, dans la réalité historique, on n’est pas bien loin de ce schéma puisque la conspiration qui s’est liguée contre lui intégrait son fils adoptif Brutus. Parce que Jules César devenait tyrannique.

Ici, c’était plutôt une affaire d’héritage qui était à l’origine du meurtre en vue. Les équipes en lice ont ainsi pu empêcher le crime d’avoir lieu et Jules César, réveillé en pleine sieste, un peu déboussolé, a pu rejoindre la Curie (entendez L’Assemblée Nationale de l’époque) pour rejoindre son poste de consul.

Bravo à tous les élèves de 3ème qui ont imaginé le scénario alliant énigmes intellectuelles et défis de tactique et stratégie. Bravo aux latinistes de 5ème et 4ème qui ont couru, réfléchi et … sué à grosses gouttes !

Heureusement, cette après-midi se clôturait par un bon goûter désaltérant et réconfortant, sans oublier la remise de lots offerts par le FSE du collège.

Balade poétique avec les « 5èmes ZEN »

A l’occasion de l’arrivée du printemps, les élèves de 5ème D ont eu l’opportunité de sortir de leurs classes et de leurs habitudes de travail pour aller au contact de la nature avec leur professeure principale, Mme Jouineau.

                Répartis par petits groupes, ils ont mené en parallèle des activités de sophrologie et participer à un atelier d’écriture avec leur professeur de français, Mme Guillemaux. Chacun a pu réaliser un carnet poétique complet à ses couleurs et à son image. Au fil des semaines, ces jeunes talents sont parvenus à s’inspirer des différentes formes poétiques rencontrées en classe et ont écrit chacun six formes poétiques différentes :

– un haïku (forme poétique courte d’origine japonaise)

– un « J’aime et je n’aime pas »  à la façon de Roland Barthes

– un lipogramme comme Georges Pérec (texte poétique à contrainte où l’on s’interdit d’utiliser une lettre précise, une voyelle de préférence)

– un récit poétique sur leur CABANE IMAGINAIRE

– un calligramme

– un sonnet à la manière de Dormeur du Val d’Arthur Rimbaud que nous avons découvert en classe.

                A l’issue de ce projet, les élèves de la classe ont pu découvrir ensemble leurs productions et ont choisi leurs haïkus et leurs calligrammes préférés.

Victoire à la Team Ocean

Nos élèves de 5B, accompagnés de M. Jakubowski et de Mme Marthouret, ont gagné le prix de l’éloquence pour avoir présenté une espèce de poisson, le mordocet.

Le but de ce projet « une maison pour tous » était de découvrir comment vivait le mordocet et voir où il était possible de créer des abris où il pourrait se reproduire.

Le matin, la classe a été accueillie à l’aquarium de Dunkerque où les élèves ont découvert le poisson, ensuite ils eurent des ateliers sur la plage face au Kursaal où ils ont travaillé sur les réseaux alimentaires de l’océan.

L’après-midi, la classe a gagné le Kahoot sur l’environnement. Ensuite, les élèves ont préparé leur discours sur le mordocet et expliqué les caractéristiques du poisson.

Le mordocet est une blennie.

Cette blennie est assez grande et allongée, d’une taille moyenne de 16cm, pouvant atteindre les 18cm. Le profil de la tête est arrondi. Il n’y a pas de sillon entre les yeux, plutôt grands. Les lèvres sont charnues.

Sa couleur est variable, beige, gris-brun ou verdâtre, souvent en fonction du substrat. Elle est de plus mouchetée irrégulièrement et des bandes verticales, foncées mais plus ou moins visibles, agrémentent sa livrée. Son maxillaire est systématiquement clair. Elle porte parfois une tache sombre derrière l’oeil, pouvant ressembler à un ocelle. Le mâle reproducteur est très foncé, le maxillaire restant clair.

Elle porte un tentacule en bouquet d’au moins neuf branches au niveau des narines antérieures, mais n’a pas d’appendice sur le dessus de la tête.

La nageoire dorsale est composée d’une partie épineuse à l’avant et s’abaisse en décroché au niveau de la partie molle, à l’arrière. Elle est marquée d’un point sombre entre le 1er et le second rayon épineux. Les nageoires pelviennes, positionnées sous la gorge, sont formées de deux longs rayons. Elles sont cependant robustes. Les nageoires pectorales, de forme plutôt pointues, s’étendent jusque vers l’anus.

Découverte de l’équitation

Le jeudi 5 mai 2022, notre classe [ndlr : la classe d’UPE2A : Unité Pédagogique pour Elèves Allophones Arrivants] est partie passer l’après-midi au Centre équestre de St Sylvestre -Cappel.

En arrivant, nous avons rencontré la propriétaire Catherine. Nous avons regardé les animaux de la basse-cour. Puis, nous sommes allés manger dans le Club House. Ensuite, nous sommes allés découvrir les chevaux en visitant les écuries. Les élèves qui viennent d’Afghanistan ont improvisé un match de cricket. Puis, nous avons retrouvé Catherine qui a présenté les différents aliments pour les animaux de la ferme. Nous sommes allés nourrir les animaux.

Ensuite, nous sommes allés chercher les poneys qui étaient en liberté dans la prairie. Puis, nous avons rencontré la professeure d’équitation.

Elle a fait des petits groupes de 2 personnes et elle a confié un cheval à chaque groupe. Nous avons nettoyé et préparé les chevaux pour pouvoir les monter. Nous sommes allés dans le manège. La professeure a demandé de réaliser des petits exercices avec les chevaux.

Nous avons aimé passer ce moment tous ensemble avec les animaux de la ferme. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas vu autant d’animaux.

Article rédigé par les élèves de la classe UPE2A : Zia, Aboubacar, Moussa, Maqsood, Hassan, Souleymane, Ahmad, Sadek, Amin, Sabaoune, Jahan, Noman, Hamadoun Mamoudou

Les élèves du collège à la conquête du … blob !

Ce lundi 25 avril, vers midi, les élèves volontaires ont pris connaissance du blob sous forme de sclérotes.

Ils ont découvert ce blob et l’ont réveillé et ont commencé à travailler sur la démarche expérimentale sur le blob.

Pendant les récréations, les élèves pourront surveiller l’ évolution du blob et réaliser les protocoles expérimentaux

Qu’est ce que le blob ?

Pour réaliser un élevage de blob, il convient au préalable de connaître un petit peu mieux cet organisme particulier. Un blob n’est ni un animal, ni un végétal, ni un champignon. C’est ce qu’on appelle un myxomycète, avec des caractéristiques qui lui sont propres. Le blob n’est composé que d’une seule cellule de très grande taille, mais qui comprend des millions de noyaux (qui contiennent chacun une copie de son ADN). Dans la nature, on le trouve sur le sol humide des forêts. C’est là qu’à l’abri de la lumière (qu’il cherche à éviter), il va grandir et se déplacer lentement à la recherche de nourriture.

Il intéresse les chercheurs notamment parce que, bien qu’il ne possède ni cerveau, ni système nerveux (puisque ce n’est qu’une seule cellule), il est capable d’une forme d’apprentissage et d’une optimisation de ses déplacements pour assimiler sa nourriture.

Lorsque les conditions environnementales se détériorent, le blob va former un sclérote, un état dormant très résistant aux conditions externes : le blob attend que son environnement soit de nouveau favorable à sa croissance. C’est sous cette forme de sclérote qu’il peut être transporté facilement et que le CNRS l’enverra aux volontaires sélectionnés.

Suivre une démarche expérimentale

Un projet de recherche commence en général avec une observation. Par exemple, “on observe moins de blobs en forêt depuis quelques années”. Suite à une observation, on pose alors une question : “Qu’est ce qui est responsable de la disparition des blobs ? ”. Afin de répondre à cette question, on émet une hypothèse. Une hypothèse est une réponse plausible à la question basée sur des lectures d’articles scientifiques ou des observations. Notre hypothèse ici est : le blob est affecté par le réchauffement climatique. Afin de valider ou d’invalider notre hypothèse, on planifie une expérience qui nous permettra de tester notre hypothèse. Pour cela, on rédige un protocole expérimental.

Le protocole expérimental compile les étapes à suivre et le matériel nécessaire pour réaliser l’expérience, un peu comme une recette de cuisine. Dans notre expérience, le blob sera soumis à des changements de température pendant 5 à 10 jours et on mesurera quotidiennement sa croissance et sa capacité à explorer un nouveau territoire (comportement d’exploration). Lorsqu’on teste une hypothèse, il est important de modifier un seul paramètre : la température. Tous les autres paramètres (ex : éclairage, nourriture, substrat) susceptibles d’affecter le blob doivent rester constants.

A la suite des expériences, on collecte les données, on les interprète et on tire des conclusions. Si l’hypothèse est vérifiée, on pourra faire d’autres expériences pour la confirmer ou la préciser. Par exemple, si nous parvenons à démontrer que les changements de température influencent la croissance du blob, on pourra ensuite essayer de comprendre si cela affecte aussi sa capacité à se reproduire. Si l’hypothèse est réfutée, on devra alors formuler une nouvelle hypothèse. Celle-ci pourrait être par exemple que la disparition des blobs est due à la pollution. La méthode expérimentale est un processus itératif : le résultat d’une expérience devient une base sur laquelle on s’appuie pour poser une nouvelle question et conduire une nouvelle expérience. La démarche expérimentale consiste donc à avancer une idée à l’aide de faits concrets, mesurables et observables.

Collège Sciences Nord

Dans le cadre de l’opération Collège Sciences Nord, menée par Mme Marthouret et Mme Guillemaux, un intervenant des archives de Lille est venu, le 9 mars dernier, présenter à nos élèves de 6eD une animation sur l’héraldique

Les élèves ont été sensibilisés aux codes des blasons, et ont découvert les blasons de la région. A travers l’héraldique, la place des animaux et leur signification ont été étudiés.

Ensuite les élèves ont créé leurs propres blasons.

Puis le travail sur les animaux a continué ce jeudi 7 avril au Museum d’Histoire naturelle de Lille.

Les élèves ont découvert les espèces animales sauvages et comment ces dernières ont été domestiquées par l’homme. La visite s’est terminée avec les espèces disparues comme le dodo et l’ impact de l’ homme sur l’ environnement.