Et voilà… la fresque !

Cela se passe en salle B2, la salle de Sciences de la Vie et de la Terre

Les élèves de la 6ème à la 3ème sont fiers de vous présenter leur réalisation sur les animaux en danger.

Cette fresque a été réalisée sur le temps du midi en club le jeudi.

Les photos ci-après vous montrent l’évolution du travail, du dessin à la mise en peinture…

Après des heures et des heures de travail, voilà le résultat :

(Cliquez sur les photos pour les agrandir)

Joyeuse conclusion pour le tournoi des 5 maisons

Une nouvelle année se termine, et avec elle, notre troisième tournoi des cinq Maisons. Lancés avec passion dans l’aventure depuis l’automne, les Gryffondor, les Serpentard, les Arietes, les Serdaigle et les Poufsouffle ont relevé bien des défis et y ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Cette année, le tournoi a été remporté de haute lutte par les 6èmesD Serdaigle.

Une joyeuse épreuve, préparée avec soin par leur professeur de SVT, les attendait pour savourer tous ensemble leur belle année. En compagnie de Mme Marthouret, M. Hallosserie et Mme Guillemaux, les Serdaigle ont relevé, avec leur énergie coutumière, cette dernière aventure : découvrir qui avait dérobé la baguette du Professeur Lupin et la retrouver dans un Escape Game effréné.

Les élèves ont fait des équipes pour relever les défis préparés pour eux dans la salle de SVT. Le système nerveux a donné du fil à retordre aux Jaunes, les Bleus ont chauffé sur le système solaire, les Rouge ont assimilé beaucoup d’informations sur le système digestif et les Verts ont planché avec détermination sur la classification…

D’indices en codes, de clés en coffrets, de complices mystères en devinettes, les élèves ont volé à travers tout l’établissement à la recherche de la clé de l’énigme.

Et après deux heures de jeu intense : ils ont enfin trouvé la solution et retrouvé la fameuse baguette cachée dans le bureau de M. Caranana … ainsi que quelques douceurs vite partagées.

Lyna, pétillante déléguée de classe, a conclu joyeusement cette belle partie d’Escape Game  : « C’était trop bien, Merci Mme Marthouret ! »

Journée « Collège Sciences Nord »

Quelques élèves de la classe de 6D participant à l’opération « Collège Science Nord » ont pu présenter leur projet à Villeneuve d’Asq pour la journée expo sciences & co, en compagnie de Mme Guillemaux et de Mme Marthouret.

37 projets scientifiques ont été présentés par des collégiens de tout le département.

Nos élèves ont pu rencontrer les élèves des autres collèges, les membres du jury et expliquer leur projet « poilons nous avec les animaux ! »

Victoire à la Team Ocean

Nos élèves de 5B, accompagnés de M. Jakubowski et de Mme Marthouret, ont gagné le prix de l’éloquence pour avoir présenté une espèce de poisson, le mordocet.

Le but de ce projet « une maison pour tous » était de découvrir comment vivait le mordocet et voir où il était possible de créer des abris où il pourrait se reproduire.

Le matin, la classe a été accueillie à l’aquarium de Dunkerque où les élèves ont découvert le poisson, ensuite ils eurent des ateliers sur la plage face au Kursaal où ils ont travaillé sur les réseaux alimentaires de l’océan.

L’après-midi, la classe a gagné le Kahoot sur l’environnement. Ensuite, les élèves ont préparé leur discours sur le mordocet et expliqué les caractéristiques du poisson.

Le mordocet est une blennie.

Cette blennie est assez grande et allongée, d’une taille moyenne de 16cm, pouvant atteindre les 18cm. Le profil de la tête est arrondi. Il n’y a pas de sillon entre les yeux, plutôt grands. Les lèvres sont charnues.

Sa couleur est variable, beige, gris-brun ou verdâtre, souvent en fonction du substrat. Elle est de plus mouchetée irrégulièrement et des bandes verticales, foncées mais plus ou moins visibles, agrémentent sa livrée. Son maxillaire est systématiquement clair. Elle porte parfois une tache sombre derrière l’oeil, pouvant ressembler à un ocelle. Le mâle reproducteur est très foncé, le maxillaire restant clair.

Elle porte un tentacule en bouquet d’au moins neuf branches au niveau des narines antérieures, mais n’a pas d’appendice sur le dessus de la tête.

La nageoire dorsale est composée d’une partie épineuse à l’avant et s’abaisse en décroché au niveau de la partie molle, à l’arrière. Elle est marquée d’un point sombre entre le 1er et le second rayon épineux. Les nageoires pelviennes, positionnées sous la gorge, sont formées de deux longs rayons. Elles sont cependant robustes. Les nageoires pectorales, de forme plutôt pointues, s’étendent jusque vers l’anus.

Une sortie sur le littoral

Pendant la semaine du 16 au 22 mai, toutes les classes de 6ème sont parties dans le cadre des cours de S.V.T sur le littoral du Nord. Toutes ont pu visiter le matin le musée portuaire de Dunkerque ainsi que le port même. Ils ont alors découvert les Moles les Darces, les imports, les navires tels que le bateau-feu, le Duchesse-Anne , ou encore le phare de Dunkerque. Ceci s’inscrit dans les découvertes de paysages liées au programme de S.V.T de fin de cycle 3.

L’après-midi, les élèves ont découvert la dune du Perroquet de Bray-Dunes, pouvant ainsi observer tous les environnements de la dune : dune embryonnaire, dune blanche, dune grise, à fourrés et boisée en découvrant la faune et la flore très développées qui s’y trouven : les plantes et les animaux qui vivent et font vivre la Dune, tout comme l’oyat et ses racines fixant la dune, la mousse tortula, ou encore différentes espèces d’oiseaux et d’insectes.

Les élèves sont passés de la chaleur aux trombes d’eau tout au long de ces sorties !

Cela s’inscrivait dans le même programme ainsi que la découverte des environnements régionaux.

Les élèves du collège à la conquête du … blob !

Ce lundi 25 avril, vers midi, les élèves volontaires ont pris connaissance du blob sous forme de sclérotes.

Ils ont découvert ce blob et l’ont réveillé et ont commencé à travailler sur la démarche expérimentale sur le blob.

Pendant les récréations, les élèves pourront surveiller l’ évolution du blob et réaliser les protocoles expérimentaux

Qu’est ce que le blob ?

Pour réaliser un élevage de blob, il convient au préalable de connaître un petit peu mieux cet organisme particulier. Un blob n’est ni un animal, ni un végétal, ni un champignon. C’est ce qu’on appelle un myxomycète, avec des caractéristiques qui lui sont propres. Le blob n’est composé que d’une seule cellule de très grande taille, mais qui comprend des millions de noyaux (qui contiennent chacun une copie de son ADN). Dans la nature, on le trouve sur le sol humide des forêts. C’est là qu’à l’abri de la lumière (qu’il cherche à éviter), il va grandir et se déplacer lentement à la recherche de nourriture.

Il intéresse les chercheurs notamment parce que, bien qu’il ne possède ni cerveau, ni système nerveux (puisque ce n’est qu’une seule cellule), il est capable d’une forme d’apprentissage et d’une optimisation de ses déplacements pour assimiler sa nourriture.

Lorsque les conditions environnementales se détériorent, le blob va former un sclérote, un état dormant très résistant aux conditions externes : le blob attend que son environnement soit de nouveau favorable à sa croissance. C’est sous cette forme de sclérote qu’il peut être transporté facilement et que le CNRS l’enverra aux volontaires sélectionnés.

Suivre une démarche expérimentale

Un projet de recherche commence en général avec une observation. Par exemple, “on observe moins de blobs en forêt depuis quelques années”. Suite à une observation, on pose alors une question : “Qu’est ce qui est responsable de la disparition des blobs ? ”. Afin de répondre à cette question, on émet une hypothèse. Une hypothèse est une réponse plausible à la question basée sur des lectures d’articles scientifiques ou des observations. Notre hypothèse ici est : le blob est affecté par le réchauffement climatique. Afin de valider ou d’invalider notre hypothèse, on planifie une expérience qui nous permettra de tester notre hypothèse. Pour cela, on rédige un protocole expérimental.

Le protocole expérimental compile les étapes à suivre et le matériel nécessaire pour réaliser l’expérience, un peu comme une recette de cuisine. Dans notre expérience, le blob sera soumis à des changements de température pendant 5 à 10 jours et on mesurera quotidiennement sa croissance et sa capacité à explorer un nouveau territoire (comportement d’exploration). Lorsqu’on teste une hypothèse, il est important de modifier un seul paramètre : la température. Tous les autres paramètres (ex : éclairage, nourriture, substrat) susceptibles d’affecter le blob doivent rester constants.

A la suite des expériences, on collecte les données, on les interprète et on tire des conclusions. Si l’hypothèse est vérifiée, on pourra faire d’autres expériences pour la confirmer ou la préciser. Par exemple, si nous parvenons à démontrer que les changements de température influencent la croissance du blob, on pourra ensuite essayer de comprendre si cela affecte aussi sa capacité à se reproduire. Si l’hypothèse est réfutée, on devra alors formuler une nouvelle hypothèse. Celle-ci pourrait être par exemple que la disparition des blobs est due à la pollution. La méthode expérimentale est un processus itératif : le résultat d’une expérience devient une base sur laquelle on s’appuie pour poser une nouvelle question et conduire une nouvelle expérience. La démarche expérimentale consiste donc à avancer une idée à l’aide de faits concrets, mesurables et observables.

Collège Sciences Nord

Dans le cadre de l’opération Collège Sciences Nord, menée par Mme Marthouret et Mme Guillemaux, un intervenant des archives de Lille est venu, le 9 mars dernier, présenter à nos élèves de 6eD une animation sur l’héraldique

Les élèves ont été sensibilisés aux codes des blasons, et ont découvert les blasons de la région. A travers l’héraldique, la place des animaux et leur signification ont été étudiés.

Ensuite les élèves ont créé leurs propres blasons.

Puis le travail sur les animaux a continué ce jeudi 7 avril au Museum d’Histoire naturelle de Lille.

Les élèves ont découvert les espèces animales sauvages et comment ces dernières ont été domestiquées par l’homme. La visite s’est terminée avec les espèces disparues comme le dodo et l’ impact de l’ homme sur l’ environnement.

Vous avez dit Wateringues ? Polders ?

Ce mardi 5 avril, les élèves de 5ème D accompagnés de Mme Marthouret et Mr Jakubowski ont découvert comment la région des Flandres maritimes a été gagnée sur la mer.

Les élèves ont commencer à découvrir Les Moeres , un polder typique , gagné sur la mer, il y a plusieurs siècles et donc drainé par un réseau de fossés et de canaux.

C’est le point le plus bas de toutes les zones gagnées sur la mer en France.

L’eau contenue dans ces fossés et ces canaux est rejetée à la mer via des pompes.

La visite a continuée sur le site des 4 écluses.

Le site des 4 écluses est le point de convergence des canaux du Dunkerquois. C ‘est sur ce secteur que sont régulés les niveaux d’eau du territoire des Wateringues. Les eaux du canal de Bergues, de jonction, des Moeres, et des réseaux d’assainissement sont évacuées dans le canal exutoire par le biais de l’ ouvrage de jonction et de la station des 4 écluses.

Les cinq Vannes de l’ouvrage de jonction contrôlent les eaux en provenance du canal de Bergues et du canal de jonction.

Le niveau d’ eau dans le canal exutoire est régulé par l’ ouvrage Tixier en fonction des marées.

L’ouvrage Tixier permet un écoulement à la mer intermittent.

A marée haute, il faut empêcher la mer d’envahir les terres. Les portes à la mer sont fermées. Les eaux douces qui arrivent et les eaux pluviales sont stockées dans les canaux.

A marée basse, les portes de la mer sont ouvertes pour évacuer les eaux qui se sont accumulées dans les canaux.

Puis la visite s’est terminée à La Halle au sucre sur une exposition sur l’eau et un travail sur des maquettes.

Suite à cette journée, un abécédaire va être créé par les élèves.