Projet vidéo « Non au harcèlement »

Récemment, quelques élèves du collège se sont mobilisés autour du projet « Non au harcèlement ».

Vous souhaitez revoir le travail réalisé ? C’est ici >> Non au harcèlement 2021-2022

Le collège vient de se voir décerner un diplôme de participation émanant du Département pour récompenser l’engagement citoyen au collège.

Une nouvelle fois, BRAVO aux élèves et aux adultes qui les ont accompagnés.

Echanges individuels France-Allemagne … suite !

Le collège Robert le Frison de Cassel et la « Schule der Brede » de Brakel sont décidément inséparables cette année ! De belles amitiés voient le jour…

Crédit : Laura BUISINE

Alors que l’échange de groupe se profile (départ dans moins d’une semaine …!),

les échanges individuels se poursuivent.

Gabrielle et Louise A., qui avaient effectué un séjour d’un mois environ en novembre dernier dans notre école partenaire de Brakel, reçoivent à présent leurs correspondantes, Jette et Kaja.

A la visite de Jette et Kaja s’ajoute celle de Mia. Toutes trois resteront trois semaines et découvriront le quotidien de leurs amies françaises. Cet été, ce sera au tour de Louise M. de partir à son tour en Allemagne, chez Mia.

Petite pensée pour Faustine, élève de 4ème, qui a démarré son séjour individuel à Brakel et qui découvre le quotidien de Sarah, repartie chez elle après 7 semaines passées au collège 😉

De beaux projets à l’image de ces jolis sourires … Voyez plutôt !

Louise A. et Kaja, Mia et Louise M., Gabrielle et Jette

Vive l’amitié franco-allemande !

Les élèves du collège à la conquête du … blob !

Ce lundi 25 avril, vers midi, les élèves volontaires ont pris connaissance du blob sous forme de sclérotes.

Ils ont découvert ce blob et l’ont réveillé et ont commencé à travailler sur la démarche expérimentale sur le blob.

Pendant les récréations, les élèves pourront surveiller l’ évolution du blob et réaliser les protocoles expérimentaux

Qu’est ce que le blob ?

Pour réaliser un élevage de blob, il convient au préalable de connaître un petit peu mieux cet organisme particulier. Un blob n’est ni un animal, ni un végétal, ni un champignon. C’est ce qu’on appelle un myxomycète, avec des caractéristiques qui lui sont propres. Le blob n’est composé que d’une seule cellule de très grande taille, mais qui comprend des millions de noyaux (qui contiennent chacun une copie de son ADN). Dans la nature, on le trouve sur le sol humide des forêts. C’est là qu’à l’abri de la lumière (qu’il cherche à éviter), il va grandir et se déplacer lentement à la recherche de nourriture.

Il intéresse les chercheurs notamment parce que, bien qu’il ne possède ni cerveau, ni système nerveux (puisque ce n’est qu’une seule cellule), il est capable d’une forme d’apprentissage et d’une optimisation de ses déplacements pour assimiler sa nourriture.

Lorsque les conditions environnementales se détériorent, le blob va former un sclérote, un état dormant très résistant aux conditions externes : le blob attend que son environnement soit de nouveau favorable à sa croissance. C’est sous cette forme de sclérote qu’il peut être transporté facilement et que le CNRS l’enverra aux volontaires sélectionnés.

Suivre une démarche expérimentale

Un projet de recherche commence en général avec une observation. Par exemple, “on observe moins de blobs en forêt depuis quelques années”. Suite à une observation, on pose alors une question : “Qu’est ce qui est responsable de la disparition des blobs ? ”. Afin de répondre à cette question, on émet une hypothèse. Une hypothèse est une réponse plausible à la question basée sur des lectures d’articles scientifiques ou des observations. Notre hypothèse ici est : le blob est affecté par le réchauffement climatique. Afin de valider ou d’invalider notre hypothèse, on planifie une expérience qui nous permettra de tester notre hypothèse. Pour cela, on rédige un protocole expérimental.

Le protocole expérimental compile les étapes à suivre et le matériel nécessaire pour réaliser l’expérience, un peu comme une recette de cuisine. Dans notre expérience, le blob sera soumis à des changements de température pendant 5 à 10 jours et on mesurera quotidiennement sa croissance et sa capacité à explorer un nouveau territoire (comportement d’exploration). Lorsqu’on teste une hypothèse, il est important de modifier un seul paramètre : la température. Tous les autres paramètres (ex : éclairage, nourriture, substrat) susceptibles d’affecter le blob doivent rester constants.

A la suite des expériences, on collecte les données, on les interprète et on tire des conclusions. Si l’hypothèse est vérifiée, on pourra faire d’autres expériences pour la confirmer ou la préciser. Par exemple, si nous parvenons à démontrer que les changements de température influencent la croissance du blob, on pourra ensuite essayer de comprendre si cela affecte aussi sa capacité à se reproduire. Si l’hypothèse est réfutée, on devra alors formuler une nouvelle hypothèse. Celle-ci pourrait être par exemple que la disparition des blobs est due à la pollution. La méthode expérimentale est un processus itératif : le résultat d’une expérience devient une base sur laquelle on s’appuie pour poser une nouvelle question et conduire une nouvelle expérience. La démarche expérimentale consiste donc à avancer une idée à l’aide de faits concrets, mesurables et observables.

Collège Sciences Nord

Dans le cadre de l’opération Collège Sciences Nord, menée par Mme Marthouret et Mme Guillemaux, un intervenant des archives de Lille est venu, le 9 mars dernier, présenter à nos élèves de 6eD une animation sur l’héraldique

Les élèves ont été sensibilisés aux codes des blasons, et ont découvert les blasons de la région. A travers l’héraldique, la place des animaux et leur signification ont été étudiés.

Ensuite les élèves ont créé leurs propres blasons.

Puis le travail sur les animaux a continué ce jeudi 7 avril au Museum d’Histoire naturelle de Lille.

Les élèves ont découvert les espèces animales sauvages et comment ces dernières ont été domestiquées par l’homme. La visite s’est terminée avec les espèces disparues comme le dodo et l’ impact de l’ homme sur l’ environnement.

Vous avez dit Wateringues ? Polders ?

Ce mardi 5 avril, les élèves de 5ème D accompagnés de Mme Marthouret et Mr Jakubowski ont découvert comment la région des Flandres maritimes a été gagnée sur la mer.

Les élèves ont commencer à découvrir Les Moeres , un polder typique , gagné sur la mer, il y a plusieurs siècles et donc drainé par un réseau de fossés et de canaux.

C’est le point le plus bas de toutes les zones gagnées sur la mer en France.

L’eau contenue dans ces fossés et ces canaux est rejetée à la mer via des pompes.

La visite a continuée sur le site des 4 écluses.

Le site des 4 écluses est le point de convergence des canaux du Dunkerquois. C ‘est sur ce secteur que sont régulés les niveaux d’eau du territoire des Wateringues. Les eaux du canal de Bergues, de jonction, des Moeres, et des réseaux d’assainissement sont évacuées dans le canal exutoire par le biais de l’ ouvrage de jonction et de la station des 4 écluses.

Les cinq Vannes de l’ouvrage de jonction contrôlent les eaux en provenance du canal de Bergues et du canal de jonction.

Le niveau d’ eau dans le canal exutoire est régulé par l’ ouvrage Tixier en fonction des marées.

L’ouvrage Tixier permet un écoulement à la mer intermittent.

A marée haute, il faut empêcher la mer d’envahir les terres. Les portes à la mer sont fermées. Les eaux douces qui arrivent et les eaux pluviales sont stockées dans les canaux.

A marée basse, les portes de la mer sont ouvertes pour évacuer les eaux qui se sont accumulées dans les canaux.

Puis la visite s’est terminée à La Halle au sucre sur une exposition sur l’eau et un travail sur des maquettes.

Suite à cette journée, un abécédaire va être créé par les élèves.