C’est quoi, une antonomase ? Réponse des 6eB

 Dans le cadre d’une séquence en français, les élèves de 6eB de Mme Guillemaux ont fait des recherches sur les antonomases. De quoi s’agit-il ? Ce sont des noms propres qui sont devenus communs dans la langue française.

 Après plusieurs séances de recherches au CDI, les élèves ont réalisé un magnifique livret, qui peut bien sûr être lu au CDI.

 En voici quelques extraits :

Mosaïques romaines

Mais que faire avec des Crozets ? Une crozaïque bien sûr !!

Dans le cadre de l’étude de la maison à Rome, les deux groupes de latinistes 5e de Mme Moudart ont réalisé ces jolies mosaïques à l’aide de simples Crozets, bien plus économiques que des tessons en céramique !

Ces petites pâtes carrées se prêtent bien à la technique de la mosaïque ; il suffit en effet de coller les pâtes (préalablement peintes avec de la peinture acrylique) sur le modèle choisi, et le tour est joué !

La couche de vernis (facultative) ravive les couleurs et permet surtout de conserver plus longtemps l’oeuvre d’art ! Car ces œuvres sont le résultat d’un travail minutieux où les élèves ont dû faire preuve de patience avant d’arriver à de tels résultats. De quoi occuper les longues journées pluvieuses de vacances…

Visite au Musée du Verre

Dans le cadre du projet Sciences Nord, nos élèves de la classe de 6eme B, accompagnés par les organisatrices Mmes Guillemaux et Marthouret, ont visité le musée du Verre où ils ont découvert comment le verre est soufflé ainsi que l’ histoire industrielle de la région.

 Le Musée du verre de Trélon retrace l’histoire du verre dans l’Avesnois, de l’époque gallo-romaine à nos jours.
Il est installé dans l’ancienne verrerie Parant fondée en 1823. Le site a été restauré et conservé dans sa quasi intégralité. D’abord verrerie à bouteilles de champagne 
 (champagne Veuve Cliquot) jusqu’en 1914, elle fut ensuite transformée pour le flaconnage ( flacons de parfum) et cessa son activité en 1977.

De 1823 à 1914 à Trélon, on fabrique de la verrerie noire, les bouteilles de champagne. Après guerre, on produit de la verrerie blanche, principalement du flaconnage pour la pharmacie et la parfumerie.

L’exposition présente une collection de flaconnages rares, produits dans ces murs chargés d’histoire. Des marques prestigieuses (Chanel, Guerlain, Lancôme…) témoignent de l’exigence de qualité et de création de la verrerie.

La halle aux fours date de 1893.

Elle accueille l’un des derniers fours Boétius existant. Inventé au milieu du XIXème siècle, il est installé en 1894. Six millions de bouteilles champenoises soufflées à la bouche étaient alors fabriquées par an. Il fonctionne au charbon enrichi, le coke, au moyen d’un gazogène. Ce four porte le nom de son inventeur, M. Boétius, ingénieur civil à Hanovre. Ce nouvel appareil est d’une construction plus simple et moins coûteuse que celle des anciens fours et l’économie sur le combustible s’élève à 30%.

La halle aux fours accueille aussi un four Stein lié à un fonctionnement semi-automatique en 1927. Avec le four Boétius, la chaleur des fumées n’était pas récupérée. Vers 1880, l’ingénieur Siemens réalise un système astucieux pour profiter de cette énergie gaspillée. Son système est amélioré par Stein vers 1919. La récupération de chaleur est agencée dans un dispositif à quatre récupérateurs. Le four Stein devient un four à récupération continue : on économise près de 75% de combustible. Il est fait de briques de terre réfractaire et ses murs ménagent des ouvertures pour y placer des pots de fusion. Le mélange vitrifiable est utilisé avec des machines semi-automatiques où l’ouvrier-verrier travaille mais il ne souffle plus à la canne à souffler.

 Les élèves ont pu se mettre dans la peau d’artiste pour créer un bâtiment , un objet de la ville avec des objets recyclés. Voila leurs réalisations : 

Après notre visite de ce site fabuleux, les élèves ont été sensibilisés au recyclage dans l’ art avec certains artistes : Picasso avec ses objets détournés, l‘artiste Khalil Chishtee donne vie à d’étonnants personnages grandeur nature à partir de sacs plastiques.

Visite à la ferme

Ce lundi 11 mars 2019, les élèves de 6e A et 6e B de Mme Marthouret ont visité la ferme de M. et Mme Delassus, à Bissezeele, les élèves de 6e C et 6e D  le vendredi 15 mars. Cette exploitation agricole fait partie du réseau Savoir Vert, qui est une association d’agriculteurs et d’agricultrices qui ouvrent les portes de leur ferme aux écoliers, collégiens et lycéens.Nos élèves ont découvert les cultures du Nord (blé, lin, pommes de terre, betteraves), la betterave sucrière à l’origine du sucre.

Ils ont également découvert l’ élevage de vaches laitières : leur nourriture, la traite… Il y a 250 bovins sur la ferme dont 130 vaches laitières.

 

A la ferme c’est un robot qui traite les vaches automatiquement. Les vaches sont équipées d’un collier reconnu par le robot. Ainsi on sait quelles vaches ont été traites et combien de lait elles ont produit.

Les vaches laitières sont principalement des Prim Holstein, et quelques Rouges flamandes et Montbeliarde. Pour produire du lait, ces vaches ont besoin d’avoir un veau. Ces vaches produisent entre 20 à 45 l de lait par jour.

Et pour finir, nos élèves ont fabriqué du beurre qu’ils ont pu déguster !

A la découverte du manga au CDI

Durant tout le mois de mars, les élèves pourront découvrir au CDI l’univers du manga grâce à une exposition gracieusement prêtée par la Médiathèque Départementale de prêt intitulée Mieux comprendre le manga.

Cette exposition propose également de nombreux mangas, permettant ainsi à tous de découvrir ce genre un peu à part du neuvième art.

 

 

 Le magazine Julie en a également fait le sujet de son numéro du mois de mars !

 

Exposition sur la vie de l’abeille

A l’initiative de Mme Marthouret, professeur de SVT, une exposition sur la vie de l’abeille est présentée aux élèves de 6e et  5e.

Mme Céline Clenet Rauwel , présidente de l’association La Casseline  :

 « La Casseline est une association qui mène un projet en permaculture pour transformer un site de 8 hectares en refuge de biodiversité. En lien avec les acteurs du territoire, il s’agit d’y expérimenter, expliciter et diffuser des pratiques de production durables.

 L’aménagement du site La Casseline commencera sur une zone d’un hectare dès la rentrée 2018/2019 mais ambitionne de se développer sur 8 hectares dès 2020. Restaurer la biodiversité originelle et locale prendra plusieurs années (réveil de la banque de graines pour régénérer les prairies fleuries, plantation et cultures mellifères, ouverture de mares, inventaires faunistiques et floristiques et suivi de l’évolution…). »

« Si les abeilles disparaissent de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre« .

 Cette affirmation, attribuée à tort au célèbre physicien Albert Einstein, fait froid dans le dos. Et pourtant…

L’exposition de La Casseline nous explique le rôle important de ces abeilles et de ces insectes pollinisateurs à travers une exposition et du matériel d’apiculteurs à nos élèves de sixième et de cinquième.

 Mme Marthouret vous dit tout sur les : abeilles